Ajoutant la possibilité d'assiéger une ville donnée, le dit siège peut alors interdire tout commerce (marchands du jeu), récolte de ressources de la part de l'assiégé, de même que la réception des renforts ou des ressources en provenance de d'autres villes alliées ( de la tribu de l'assiégé) et ce, tant que le siège "tient". Pour effectuer le siège, il faut envoyer des troupes, non pour piller, mais pour assiéger. Une indication que le siège est en place, sur la carte, est souhaitable. Maintenir le siège coûte du maïs dans le temps (et pourquoi pas, une petite quantité de d'autres ressources, pour l'entretient). Si la maintenance n'est plus assurée, les troupes perdent leur morale et peuvent décider de lever le siège. L'assiégeant peut lever le siège quand il le désire, ses troupes reviennent (s'il ne peut payer le maïs pour leur retour, leur morale baisse). Les alliés de l'assiégé peuvent tenter de lever le siège en attaquant et éliminant les assiégeants, l'assiégé peut tenter une sortie, ou téléporter sa ville ailleurs. De plus, si l'assiégeant n'est pas lui-même assiégé, il peut capturer un pourcentage des ressources qu'aurait pu lever l'assiégé (aux 10 minutes, à l'heure, aux 4 heures, ou aux 8 heures). Si l'assiégeant est lui-même assiégé, il ne peut recevoir quelques ressources que ce soit (même de ses propres champs) ni ne peut en envoyer (donc, pas de maïs pour ses troupes montant un siège).
Avantage pour l'assiégeant: récolter des ressources ( plus qu'il ne lui en "coûte" en maïs) , priver l'ennemi de récolter ses ressources, mais au prix de "séparer" ses troupes en plusieurs groupes (diminuant les troupes présentes dans sa propre ville). Polom ou pochteca sont requis pour ré-acheminer les ressources récoltées.
En lieu d'un siège, on peut élaborer une blocus. Ce dernier aurait pour but de tenter de permettre les échanges de ressources entre la ville soumise au blocus et ses alliés, mais sous possibilité que les ressources soient interceptées et té-acheminées vers la ville de celui qui fait le blocus. C'est moins attrayant qu'un siège, car si il n'y a pas échange de ressources, il n'y a pas d'interception, mais le coût d'entretient est moindre. Le pourcentage du transfert de ressources bloqué dépend de la quantité de troupes effectuant le blocus. Le blocus est plus difficile à détecter que le siège, du moins, avant le premier détournement de ressources. Polom ou pocheca sont requis pour ré-acheminer les ressources détournées, les porteurs initiaux de ces ressources ayant été tués, blessés, ou mis en fuite.